dimanche 18 mars 2012

Les "mal lotis" / GM Promotion immobilière

GM Promotion immobilière est donc de retour sur Quincey avec 2 demeures sur 9 ares dans un lotissement...

Ci-dessous un article paru dans l'Est Républicain du lundi 12 mars 2012 :

Les « mal lotis »

Sympa la vue depuis la parte-fenêtre de la salle à manger! Directement sur le mur du voisin. Photo ER

Un lotissement privé= une maison par parcelle ? Pas obligatoire. Ce couple de Quincey le découvre et n'apprécie guère...
Nadège Blondeau et son compagnon Lillian Voillot observent d'un mauvais œil les travaux sur la parcelle voisine. « On pensait qu'avec un terrain de plus de 9 ares, ils construiraient la maison au milieu du lopin » lâche Nadège, «comment imagine que le  bâtiment se retrouverait collé en limite de propriété, de notre coté... ». Difficile à concevoir à moins de détenir à une information de taille: ladite parcelle voisine,         sise au lotissement le « Champ coulon » à Quincey, doit accueillir non pas une demeure mais  deux. De quoi laisser sans voix Nadège.
«Nous avons acquis notre lot 7 ares en avril 2010. A l'époque le terrain  voisin n’avait pas encore trouvé preneur » se souvient Nadège. Assise dans le  canapé. , elle jette un  regard par la porte-fenêtre du salon, dont la vue donne désormais                sur… « un mur ».
Celui du garage attenant à la maison voisine. La mère famille confie: « Ce n'est pas correct. »
Avec son compagnon, elle a déposé en janvier « un recours gracieux », auprès du maire de la commune,  contre le permis de construire de la bâtisse litigieuse. En arguant du règlement du lotissement qui spécifie: «L'implantation des constructions visera obligatoirement à favoriser l'ensoleillement des maisons existantes ». Or estime Nadège, la proximité du bâtiment voisin, distant d'un peu plus de 3 m du logis de la Haut-Saônoise, «plonge une partie de notre pièce à vivre dans l'ombre ». Nadège pointe du doigt aussi les fondations du bâtiment voisin «qui débordaient sur notre terrain ». La fonctionnaire s’interroge :  «On l'a signalé au promoteur. Les ouvriers ont cassé le béton mais ont-ils bien tout enlevé en profondeur? On va vérifier ».
Evolution et location
Nadège vit « la situation très male ». «On se sent victimes. impuissants, trompés », se désole-t-elle, « on nous a vendu le lotissement comme un lotissement de standing et on se retrouve dans des cages à lapin ».
Le lotissement a été construit par Foncier Patrimoine, qui n’a pas encore achevé la vente des parcelles. Le terrain limitrophe de celui de Nadège a été acheté par la société haut-saônoise GM Promotion.
François Gauthier de Foncier patrimoine, commente: « Nous n'avons pas imposé de réelles restrictions dans le règlement se basant sur le code de l'urbanisme.
Il détaille : «L’Eventualité de deux maisons par parcelle était donc possible dès le départ. Chez GM Promotion, Alexia Mouchot assène « Mon projet respecte le code de l'urbanisme. Les gens construisent en lotissement mais ils ne veulent pas de voisins !». Elle insiste : « J'ai la conscience tranquille. J’essaye même de trouver des solutions. Le garage sera doté d'un toit terrasse, moins haut que celui prévu initialement ».
La nuisance vis-à-vis de l'ensoleillement ? La promotrice défend « L'architecte a étudié la question. L'impact est léger et concerne seulement 2 h par jour ». Pas l'avis de Nadège. A la Communauté d'agglomération vésulienne (CAV), qui étudie la conformité des demandes de permis de construire (accordés ensuite parle maire), on met en lumière l'évolution des lotissements : «On observe de plus en plus d'investisseurs qui acquièrent un lot. Pour le rentabilisez ils y construisent deux maisons ou des demeures jumelées et y font du locatif».  Au Champ Coulon, c'est le cas de plusieurs terrains déjà. Et la destination de la parcelle voisine de celle de Nadège. A la CAV, on poursuit :  «Le seul moyen de se prémunir de ce genre de situation est d'imposer dans le règlement de lotissement la limite d'une maison par parcelle ». Bon à savoir.
Nadège et Lillian n'ont pas l'intention, pour autant, de baisser les bras et ont pris un avocat, s'estimant «floués». «Mal lotis ».
Isabelle GÉRARD

GM Promotion en première page de l'Est Républicain

J'avais parlé de mes déboires avec Neodis Immobilier / GM Promotion à des amis (3 pavillons à Echenoz la Méline sur moins de 10 ares)...
Ceux-ci m'ont conservé un article paru dans l'est républicain du lundi 12 mars 2012 avec 2 pavillons sur une parcelle de lotissement à Qunicey...quelle ne fut pas ma surprise en découvrant que GM Promotion est à l'origine du projet !
En première page :

Le titre "Quncey : deux maisons par parcelle, c'est possible" me fait pensé à ceux de mon blog !

Pour faciliter le travail de google, et ne pas fatiguer vos yeux :
Nadège et Lilian n'imaginaient pas, en intégrand le Champ Coulon à Quincey, se retrouver "serrés comme des sardines" avec leurs futurs voisins. C'était sans compter avec l'évolution des lotissements, qui intègrent de plus en plus deux maisons (en locatif) par parcelle.


samedi 17 mars 2012

Un départ rapide !

Après l'appel du professionnel de chez Top Duo, je me rends quelques heures après à la mairie déposer  les déclarations d'ouverture de chantier.
Sur le chemin du retour, je passe sur mon terrain, et je découvre avec plaisir les premiers coups de pelleteuse.

Premier coup de pelle !

Quelques jours après cette réunion à Chenôve, je reçois un appel téléphonique :
"Bonjour, il n'y a toujours pas d'eau sur votre terrain, avez vous effectué les démarches nécessaires ?"

Oui ! Il y a maintenant près de deux semaines, et ça devait être fait le lendemain de mon appel à la mairie !
Bref, je contacte à nouveau la mairie qui demande à son équipe de passer à nouveau sur le terrain...quelques heures après la personne en charge de ces taches à la mairie m'informe que l'accès à l'eau a été réalisé, et s'excuse du loupé.

Le professionnel de chez Top Duo  me demande également lors de son appel téléphonique de me rendre à la mairie dans les jours à venir pour déposer mes déclarations d'ouverture de chantier.

Réunion préalable à l'ouverture du chantier

Malheureusement, je ne retrouve pas mes notes prises lors de cette réunion.

Pour résumer, je suis rentré dans leurs locaux à 14h pour en ressortir à ... 19h30 ! L'après midi a été éprouvante, les principaux points abordés :
- La réunion débute mal : on m'apprend qu'il faudra certainement prévoir un drain autour de la maison, un surcoût imprévu.

- Je signe les plans à transmettre aux artisans (eaux + électricité), et effectue quelques modifications.
- Je choisis le carrelage parmi une sélection plutôt faible...on peut agrandir la gamme en mettant une nouvelle fois la main au porte feuille.

Je quitte Chenôve vidé...physiquement et financièrement !